Mesdames, Messieurs,
le sommeil du Bangana doit-il durer plus longtemps ?
Il existe de par le pays des hommes et des femmes qui souhaitent refaire de notre pays le phare qu'il a pu être par le passé.
J'ai observé que notre chère patrie possède plusieurs atouts qu'il serait dommage de laisser à l'état de friche.
Ayant obtenu de l'administrateur les clefs de Maître du Jeu, je propose d'investir aujourd'hui les graines qui feront la prospérité du Bangana demain. J'en vois trois :
Les Domaines
Le Bangana est constitué de nombreuses préfectures, gouvernorats et autres fiefs qu'il tient de sa lointaine et mouvementée histoire politique.
Il s'agit de reconnaître cette particularité et d'encourager la richesse de ces terroirs. Comment faire ? Je propose d'ôter à la capitale son pouvoir écrasant, et de répartir plus également les pouvoirs provinciaux. L'Assemblée pourrait être constituée des Gouverneurs, au sein d'un Commonwealth. Même en gardant le terme de République, nous pourrions transformer la constitution pour acter ce fait.
La RIP Bangana pourrait ainsi vouloir dire "République Indivisible des Provinces du Bangana".
Politique nationale
Suite de cette organisation ramifiée, où les gouverneurs ont de nombreux pouvoirs, la République doit pouvoir proposer un niveau décisionnel supérieur venant non pas encadrer les provinces (ce serait impossible), mais développer des domaines de chasse gardée : Armée, Capitale, Education... Il faut définir plus avant ces domaines de compétences, mais je subodore qu'il y a un gros potentiel.
Un Président nommant des ministres : Armée, Education & Recherche, Culture & Sports, etc. pourrait être élu tous les 3 mois.
L'économie
Ce n'est pas un domaine qui m'intéresse beaucoup, mais on peut imaginer rétribuer les citoyens qui contribuent à enrichir le background et développent la société banganaise. Avoir un site internet pourrait permettre de lancer des dés de production et s'enrichir.
Culture et Sports
Une bonne partie de Balopié ou de Kowako, voilà qui unit un pays derrière ses athlètes. Mais ces sports méritent d'être mieux traités par le gouvernement. Les Fédérations n'ont ni palmarès, ni site internet...
Ce ne sont que des pistes de mauvaise brousse mais j'ose espérer que nous serons plusieurs à les élargir pour en faire de vraies avenues menant vers les lendemains qui chantent.